Nous exigeons la formation d’un comité d'urgence sur le rapport des femmes et des filles autochtones disparues et assassinées
En juin dernier, l'enquête officielle sur les femmes et les filles disparues et assassinées (MMIWG) a publié un rapport montrant l'ampleur tragique et l’atrocité de ces événements, qui ne cessent de se prolonger vu les 231 appels déposés à la justice. Ces appels comprennent des fonds pour le transport en commun, des fonds pour des organismes communautaires, etc).
Elizabeth May exige sur-le-champ, la création immédiate d’un comité d’urgence sur le rapport des femmes et des filles autochtones disparues et assassinées, pour que le Canada puisse donner suite aux appels du rapport en faveur de la justice. Les dirigeants autochtones nous ont montré ce qu'il fallait faire. Il est temps que le gouvernement agisse.
Au cours de la campagne électorale, Justin Trudeau s’est engagé à examiner le rapport, en promettant aux familles des victimes « qu’il ne les échouerait plus ». Mais avec une liste des demandes adressées au nouveau gouvernement qui ne cesse de s’allonger, nous devons nous assurer que le premier ministre rend cela essentiel, voir même sa priorité absolue. Sachant l’urgence de ce dossier, prévoyez-vous envoyer un message à Trudeau, avant la reprise des travaux parlementaires le 5 décembre ?