Keith Wiley

Le Canada a désespérément besoin de la voix d'un parti écologiste engagé et prêt à dire la vérité sur les crises environnementales auxquelles notre planète est confrontée. Un parti qui est prêt à dire sans équivoque les actions que nous devons entreprendre pour faire face à ces crises. À l'heure actuelle au Canada, ce parti ne peut être que le Parti vert. Il est donc impératif que nous procédions à une révision complète de notre leadership et que nous reprenions notre mission.

Nous ne devons pas nous laisser distraire par des controverses qui ne peuvent que nous entraîner dans des conflits, tout en n'aidant pas nos principaux objectifs électoraux et environnementaux. Cependant, nous ne pouvons pas non plus fermer les yeux sur l'injustice, la violence et les crimes de guerre. Nous devons faire face aux tactiques d'intimidation qui réduiraient au silence nos voix pour la vérité et la justice.

Je cherche à obtenir le poste de vice-président anglophone au Conseil fédéral pour aider à mettre la controverse actuelle derrière nous. Nous pouvons rétablir l'éthique de collaboration du Parti vert et les pratiques démocratiques et de base qui donnent à notre Parti une si grande partie de sa force.

Je suis une militante environnementale et politique de longue date. Plus récemment, au cours des dix dernières années, j'ai organisé la résistance aux pipelines et à l'exploitation des forêts anciennes. Je suis co-animateur bénévole d'une émission de radio hebdomadaire sur les politiques environnementales (à écouter sur TheEcoCentricRadioShow.ca). J'ai récemment cherché à obtenir l'investiture du Parti dans la circonscription de Kootenay-Columbia, en Colombie-Britannique.