De 1980 à 2013, l’écart entre le 1 % des citoyens les plus riches et le reste d’entre nous a crû de façon substantielle, le 1 % des plus riches gagne à l’heure actuelle plus de 13 fois ce que le Canadien moyen gagne en une année.
Parallèlement, alors que les Canadiens de la classe moyenne sont compressés, les taux d’imposition sur les entreprises ont été sabrés à maintes reprises, atteignant un seuil record sous le premier ministre Harper. La plupart des profits de ces entreprises ont été dissimulés, non réinvestis dans l’économie canadienne.