Mener un nouveau projet coordonné de gestion des voies navigables urbaines

Préambule

ATTENDU QUE plusieurs voies navigables urbaines sont menacées sur le plan de l’environnement par divers facteurs, pollution, circulation de bateaux à moteur, hydravions, motoneiges et transport maritime, de même qu’aménagement des secteurs riverains (la baie des Anglais à Vancouver et les rivières des Outaouais et Gatineau dans la Région de la capitale nationale, etc.);

ATTENDU QUE le canot-kayak et l’aviron gagnent en popularité, activités récréatives saines qui permettent à la population d’interagir avec son milieu naturel urbain et la vie sauvage (baleines, oiseaux, etc.);

ATTENDU QUE la vie sauvage, les pagayeurs, les rameurs et les nageurs sont mis en danger par les embarcations à moteur et la pollution;

ATTENDU QUE les autochtones urbains ont un droit ancestral de naviguer en toute sécurité sur les voies navigables ancestrales;

ATTENDU QUE les lois en vigueur et le chevauchement déconcertant des responsabilités propres entre les villes, les provinces et le gouvernement fédéral entravent dans plusieurs collectivités la gestion de la sécurité des voies navigables et des préoccupations environnementales;

Dispositif

IL EST RÉSOLU QUE le Parti vert du Canada appuie le nouveau projet fédéral visant à coordonner à tous les échelons de gouvernement une stratégie permettant d’évaluer et de concevoir des mesures de protection appropriées pour contrôler la circulation des embarcations motorisées sur les principales voies navigables urbaines, prévoir et protéger une forme d’accès à l’eau plus sûre, de même que protéger l’accès des Autochtones à leurs voies navigables ancestrales;

Commanditaires:
Vancouver EDA

Contexte

Les secteurs riverains urbains du Canada ne sont pas aussi bien contrôlés et rotégés qu’il le faudrait, tout simplement parce qu’au moins trois échelons de gouvernements ont la responsabilité de fixer les limitations de vitesse, de protéger l’environnement et d’élaborer des politiques. Historiquement, les secteurs riverains sont passés des lieux de chasse et de pêche à l’utilisation industrielle, et maintenant ils deviennent des zones récréatives où les pagayeurs et les rameurs sont menacés par des embarcations motorisées à grande vitesse. Dans plusieurs secteurs, la population est frustrée qu’aucun échelon de gouvernement ne semble être capable d’agir pour coordonner une stratégie réfléchie. Les administrations locales font face au défi de travailler en vue de restaurer leurs secteurs riverains; il est important que le gouvernement fédéral tienne compte de ces préoccupations qui semblent se propager dans les plus importantes collectivités des secteurs riverains. Les Autochtones sont frustrés du refus apparent des administrations locales de reconnaître leurs droits d’accès à leurs voies navigables ancestrales. Les écologistes sont frustrés de ne pas pouvoir protéger les bandes riveraines (protéger les baleines dans la baie des Anglais contre les embarcations motorisées à grande vitesse, résoudre les problèmes d’érosion des berges et de pollution sonore dans des lieux comme la rivière des Outaouais). Il est temps de réparer ces voies navigables si mal gérées.

Voilà quelques exemples canadiens où divers échelons de gouvernement doivent collaborer au sujet des zones urbaines riveraines. Comme exemple, citons le Waterfront Toronto (http://www.waterfrontoronto.ca/), un organisme qui coordonne trois échelons de gouvernement, afin de forger une vision commune au profit de cette zone riveraine et de surmonter des antagonismes semblables.

Code

G16-P009

Type de résolution

Politique

Auteur

Vancouver Centre EDA

Préambule

ATTENDU QUE plusieurs voies navigables urbaines sont menacées sur le plan de l’environnement par divers facteurs, pollution, circulation de bateaux à moteur, hydravions, motoneiges et transport maritime, de même qu’aménagement des secteurs riverains (la baie des Anglais à Vancouver et les rivières des Outaouais et Gatineau dans la Région de la capitale nationale, etc.);

ATTENDU QUE le canot-kayak et l’aviron gagnent en popularité, activités récréatives saines qui permettent à la population d’interagir avec son milieu naturel urbain et la vie sauvage (baleines, oiseaux, etc.);

ATTENDU QUE la vie sauvage, les pagayeurs, les rameurs et les nageurs sont mis en danger par les embarcations à moteur et la pollution;

ATTENDU QUE les autochtones urbains ont un droit ancestral de naviguer en toute sécurité sur les voies navigables ancestrales;

ATTENDU QUE les lois en vigueur et le chevauchement déconcertant des responsabilités propres entre les villes, les provinces et le gouvernement fédéral entravent dans plusieurs collectivités la gestion de la sécurité des voies navigables et des préoccupations environnementales;

Dispositif

IL EST RÉSOLU QUE le Parti vert du Canada appuie le nouveau projet fédéral visant à coordonner à tous les échelons de gouvernement une stratégie permettant d’évaluer et de concevoir des mesures de protection appropriées pour contrôler la circulation des embarcations motorisées sur les principales voies navigables urbaines, prévoir et protéger une forme d’accès à l’eau plus sûre, de même que protéger l’accès des Autochtones à leurs voies navigables ancestrales;

Commanditaires

Vancouver EDA

Contexte

Les secteurs riverains urbains du Canada ne sont pas aussi bien contrôlés et rotégés qu’il le faudrait, tout simplement parce qu’au moins trois échelons de gouvernements ont la responsabilité de fixer les limitations de vitesse, de protéger l’environnement et d’élaborer des politiques. Historiquement, les secteurs riverains sont passés des lieux de chasse et de pêche à l’utilisation industrielle, et maintenant ils deviennent des zones récréatives où les pagayeurs et les rameurs sont menacés par des embarcations motorisées à grande vitesse. Dans plusieurs secteurs, la population est frustrée qu’aucun échelon de gouvernement ne semble être capable d’agir pour coordonner une stratégie réfléchie. Les administrations locales font face au défi de travailler en vue de restaurer leurs secteurs riverains; il est important que le gouvernement fédéral tienne compte de ces préoccupations qui semblent se propager dans les plus importantes collectivités des secteurs riverains. Les Autochtones sont frustrés du refus apparent des administrations locales de reconnaître leurs droits d’accès à leurs voies navigables ancestrales. Les écologistes sont frustrés de ne pas pouvoir protéger les bandes riveraines (protéger les baleines dans la baie des Anglais contre les embarcations motorisées à grande vitesse, résoudre les problèmes d’érosion des berges et de pollution sonore dans des lieux comme la rivière des Outaouais). Il est temps de réparer ces voies navigables si mal gérées.

Voilà quelques exemples canadiens où divers échelons de gouvernement doivent collaborer au sujet des zones urbaines riveraines. Comme exemple, citons le Waterfront Toronto (http://www.waterfrontoronto.ca/), un organisme qui coordonne trois échelons de gouvernement, afin de forger une vision commune au profit de cette zone riveraine et de surmonter des antagonismes semblables.