Progrès et compromis au sein du AWG-LCA

Elizabeth May

Le Guatemala est prêt à adopter ce document. Je me demande quand nous pourrons enfin cesser de discuter pour prendre des décisions? Nous ne sommes pas prêts à laisser filer cette occasion.

La Colombie voit ce document d’un bon œil, puisqu’il propose une approche plus ambitieuse pour atténuer les impacts. La souplesse est le seul moyen de parvenir à un consensus. Nous pensons être parvenus à dégager un consensus.

Le consensus ne signifie pas donner un droit de veto à une seule nation. (Un tonnerre d’applaudissements retentit dans la salle!)

L’absence d’un accord est une menace pour l’humanité. Nous demandons à ce que le document soit approuvé.

Nous reconnaissons l’intention des parties de réaliser des progrès après ces longues heures de négociations. Nous demandons à ce que le document soit accepté.

Égypte :
Les précisions que j’ai reçues ne sont toujours pas claires... mais je vous en prie, allez-y et approuvez le document.

Gabon :
Le texte n’est pas parfait, mais il offre une perspective positive. Au moment de quitter Copenhague, bon nombre d’entre nous étaient frustrés. La présidence mexicaine n’a ménagé aucun effort. L’ovation que lui ont donnée les participants traduit la volonté de la population. Le consensus ne donne pas à une nation le droit de veto et nous ne voudrions pas créer ce genre de précédent. L’Afrique est très vulnérable, et il n’y a pas une seule journée où nous ne ressentons les impacts des changements climatiques. Nous n’avons pas le loisir d’attendre.